« Mais d’où vient ce code ultime de la musique classique qui dicte au public de ne pas applaudir quand il le désire ? ». La journaliste Aliette de Laleu dresse un panorama historique de l’évolution des applaudissements de Bach à Wagner. Elle raconte avoir assisté, le 28 janvier 2016 à la Bastille de Paris, à une production d’opéra destinée aux moins de 28 ans. La journaliste dépeint un public dont le profil est fort intéressant, puisque constitué d’une majorité de non-initiés : « Ce nouveau public, pour la plupart non mélomane, ne se laisse dicter que par son instinct, son cœur mais surtout par la musique. Peu importe les codes, la production est ovationnée, les chanteurs applaudis chaudement et le public ravi de pouvoir exprimer sa joie sans contraintes ni codes.». Si vous désirez en savoir plus sur la question des applaudissements, consultez aussi l’article de Danick Trottier, membre du DMPQ consacré aux « Applaudissements comme source de tension : Étude de la réception des 24 Préludes de François Dompierre lors de leur création au Festival de Lanaudière ».
Article : http://www.francemusique.fr/actu-musicale/petite-histoire-des-applaudissements-dans-la-musique-classique-121525
Auteure: Aliette de Laleu
Source : France musique
Date : 3/02/16
L’article de Danick Trottier : https://p2m.oicrm.org/wpcontent/uploads/2015/11/Les_applaudissements_comme_source_de_tension_DTrottier.pdf