L’attention des gens ayant diminué, les conduites d’écoutes en seraient ainsi affectées, rapporte la journaliste Émilie Côté. Et donc, les maisons de disques montréalaises s’adaptent à ces nouvelles habitudes d’écoute, priorisant dorénavant les formats EP aux albums complets.
Article : http://www.lapresse.ca/arts/musique/201505/16/01-4870288-qui-ne-risque-rien-na-rien.php
Auteure : Émilie Côté
Source : La Presse
Date : 18/05/15